Success story : Déploiement de PRTG au sein de la Métropole Européenne de Lille (MEL)
La Métropole Européenne de Lille (MEL), c’est une agglomération de 95 communes de la région lilloise totalisant plus d’un million d’habitants. C’est également un territoire aussi bien rural qu‘urbain.
Derrière cette agglomération, c’est un établissement public qui accueille 2,500 agents qui s’organisent autour de différents services, composés de 11 pôles gérant l’ensemble des compétences, comme les services aux usagers, le développement territorial, le développement social, l’aménagement du territoire, le développement durable, la promotion du territoire, le cadre de vie, le tourisme…
Concernant la direction des systèmes d’information de la MEL, on y retrouve 70 agents qui gèrent l’informatique entièrement par eux-mêmes, pas de service externalisé. Le pôle informatique est exclusivement basé dans les locaux de Lille.
Au sein de ce département, on retrouve 3 équipes distinctes : celle dédiée aux relations utilisateurs & gouvernance du SI, une autre axée sur la partie applicative & gestion de projet (intégration, développement applicatif et MCO de ces applicatifs) et enfin une équipe production, qui gère tout le MCO des infrastructures, aussi bien réseau que système.
BTW : Dans quel environnement informatique évoluiez-vous avant l’intégration de PRTG ?
BD : Au SI de la MEL, une grosse majorité est on-premise, nous gérons tout de A à Z, sur des équipements réseaux, serveurs, physiques, postes, etc. Toutes les briques de notre infrastructure sont hébergées dans deux data-centers chez nous.
Puisque nous sommes dans un environnement qui évolue constamment, nous avions déjà une supervision mise en place, notamment via CENTREON et NAGIOS.
En revanche, nous étions sur des versions vieillissantes, de 10 de dix ans ; certes adaptées à notre besoin de l’époque. Cependant, nous savions qu’elles n’arriveraient pas à suivre notre évolution et ne pourraient répondre à nos besoins futurs. Nous avons donc choisi de faire confiance à BY THE WAY pour la mise en place d’un nouvel outil.
BTW : Quelles étaient vos problématiques pour la supervision de votre infrastructure ?
BD : Les solutions de l’époque étaient vieillissantes ne nous permettaient pas de cartographier ; point vivement apprécié chez PRTG. Nous commencions à être demandeur à ce sujet, à obtenir une supervision beaucoup plus globale, une météo des services, des états de santé de nos infrastructures. Notre CENTRION ne nous le permettait pas.
BTW : Quels étaient les objectifs à atteindre dans le cadre de la mise en place de cette nouvelle solution de supervision ?
BD : Avant, nous avions des cartographies sur un autre outil qui était dédié au réseau. Nous avions 3 outils de supervision et nous souhaitions tout regrouper en un seul, d’où le choix de PRTG : tous ces outils en un seul et garder de la visibilité sur toutes ces cartographies, les alerting, le suivi ; tout ce que nous voulions en somme.
L’ancienne supervision était disparate ; toutes les supervisions de nos infrastructures vieillissaient donc c’était l’occasion de tout remettre à plat et de voir pour un outil global pérenne.
L’outil utilisé jusqu’à présent, n’était pas bloqué ; nous souhaitions alors évoluer, repenser notre supervision, l’améliorer, rationnaliser l’outil avec les différentes équipes, pour voir l’avenir.
En parallèle, nous avions une grosse attente sur les parties statistiques et cartographies. C’était un point très important pour nous : que chaque équipe puisse produire ses cartographies pour obtenir une supervision sur écran et être encore plus réactif que précédemment.
BTW : Pourquoi avoir choisi PRTG pour superviser votre infrastructure ?
BD : Nous avons commencé à opérer des phases de test courant 2021, et en fin d‘année, nous nous sommes arrêtés sur PRTG. Nous avions sélectionné 5 solutions et seules 3 ont été testées, dont PRTG.
Sur les 3 solutions POCées, 2 étaient assez semblables, dont PRTG. Ce qui nous a conforté dans le choix de PRTG, c’est une sorte de consensus de toutes les équipes. PRTG nous apparaissait comme l’outil le plus adéquat à tous les besoins de toutes les équipes. Il en se démarquait pas particulièrement de l’autre outil, mais sa simplicité qui a fait pencher notre balance pour la solution allemande.
BTW : Pourquoi avoir choisi de réaliser cette intervention via un intervenant extérieur ?
BD : On part sur des solutions de supervision que nous souhaitons maîtriser dans la durée. Donc nous avons préféré faire confiance à un prestataire qui maîtrise le sujet d’un bout à un autre, et qui nous accompagnera à mettre en place une infrastructure adaptée à notre besoin mais surtout pérenne, le tout, suivant les préconisations de l’éditeur.
Ensuite est venue la phase de tests, qui ont fonctionné dès le début. Dès lors, nous avons installé PRTG et je pense que nous pouvons dire que nous avons fait le bon choix.
BTW : Pourquoi avoir choisi de réaliser cette intervention via un intervenant extérieur ?
BD : Nous avions réalisé un benchmark pour sélectionner aussi bien le prestataire que la solution, il y a pratiquement 2 ans maintenant.
Nous avons regardé toutes solutions du marché et clairement PAESSLER se retrouvait en haut de la liste. Après une première prise de contact avec l’éditeur fin 2020, nous avons été redirigés vers BY THE WAY puisque partenaire PLATINUM et expert dans le domaine recommandé par l’équipe allemande. Petit plus car entreprise basée dans la MEL.
Nous avons alors choisi de faire confiance à BY THE WAY sur les recommandations de PAESSLER. Il y a un vrai suivi du projet global opéré par BY THE WAY.
BTW : Comment s’est déroulé le déploiement de la solution ?
BD : Le déploiement, rapide, s’est bien passé puisque nous avions POCé, courant 2021, avec Sokha KOL (ingénieur systèmes & réseaux chez BY THE WAY). Alors, lorsqu’il est arrivé pour déployer, nous avons constaté que l’ingénieur avait en tête toute notre infrastructure, nos besoins, nos envies, et a su nous prodiguer de bons conseils, sans perdre de temps.
Donc, en quelques semaines, nous avons pu obtenir une supervision intégrale de nos équipements, certes pas encore complètement en production le temps d’adapter tous les nouveaux capteurs à l’infrastructure actuelle ; mais tous nos équipements étaient supervisés en quelques semaines.
C’est un travail qui s’opère au fil de l’eau, et ensuite à voir la montée en charge de PRTG si ajustements à effectuer sur les alertings, les bibliothèques, etc.
Chaque équipe a des attentes et des besoins différents. Sokha a su préparer les différents seuils avec les équipes, pour préparer le terrain et mais à leur charge de continuer le déploiement desdits capteurs.
À l’heure actuelle, nous comptons 20,000 capteurs et 1,200 équipements supervisés.
BTW : Comment s’est déroulé le déploiement de la solution ?
Sinon, nous avons rencontré les difficultés habituelles sur un projet : comme la prise en main d’un nouvel outil, et convaincre les quelques réfractaires au changement – prouver que l’outil est le bon, le mieux adapté au besoin global.
Même si toutes les équipes ont été consultées dès les prémisses du projet, c’est une nouvelle façon de travailler, après 10 ans passés sur le même outil, il a juste fallu du temps aux différentes équipes qu’elles se familiarisent avec la solution.
Concernant l’outil en lui-même, aucun point de blocage.
BTW : Plusieurs équipes étaient impliquées dans ce projet. Avez-vous rencontré des contraintes lors de la coordination avec les différents interlocuteurs concernés ?
BD : Le projet s’est avéré fluide, dans les dates, sans rencontrer de point de blocage majeur. Petite réserve : il a fallu convaincre les équipes LINUX qui avaient repéré une autre des solutions POCées qui correspondait mieux à leurs besoins. Au fil d’échanges et de tests, tout le monde a ensuite adhéré à PRTG.
Les équipes LINUX maîtrisaient l’outil précédent, donc il fallait alors qu’elles puissent prendre la main sur le nouvel outil. Nous avions les équipes réseau qui manipulaient un outil dédié à la cartographie réseau et donc avaient de fortes attentes sur toute la cartographie de PRTG.
Ensuite, pour remettre dans le contexte, le déploiement de PRTG a soulevé un nouveau projet pour les équipes LINUX : la refonte de leur méthode de supervision de leurs équipements. Donc ce travail de fond assez important a demandé un peu plus de temps pour l’intégrer dans PRTG de façon sécurisée.
On a une vingtaine de sites à distance, ça représente beaucoup d’équipements à superviser.
Par ailleurs, nous avions rencontré des contraintes quant à la supervision ouverte à l’ensemble des équipes : l’équipe de gestion du parc applicatif était fortement tributaire de la mise en production de tous nos équipements système pour pouvoir gérer leur propre supervision. Il a fallu les solliciter à la fin du déploiement afin qu’ils ajoutent leur surcouche applicative et ensuite coordonner le transfert de compétences.
Ils sont alors une dizaine de personnes qui peuvent ajouter ou modifier des capteurs, des cartes. Tout ce qui est faisable, ils le font.
À côté, toutes les équipes de la DSI ont accès à la supervision, c’est une nouveauté.
Nous avons déployé PRTG afin que la supervision soit globale à la DSI et non pas uniquement à la production.
Et en plus, nous avons l’ensemble de la DSI qui peut avoir accès en tant que lecteur à toutes les cartographies de PRTG. On fait vraiment du transverse, si une autre équipe a besoin de produire une carte, alors on leur alloue la fonctionnalité.
Nous avons des collaborateurs/rices qui ont plus de feelings voire une certaine compétence qui leur permet de manier pleinement la solution. Chacun y a accès, tout le monde peut travailler dessus et ainsi faire tourner la solution en continu, de par sa simplicité.
BTW : La solution a été déployée début de l’année 2022. Quels bénéfices retirez-vous de l’utilisation de la solution au quotidien ?
On ne s’attendait pas à ce que cette fonctionnalité soit aussi développée chez PRTG. On se voyait l’utiliser pour des cartographies systèmes et des cartographies réseaux surtout car fonctionnalité déjà utilisée avec l’ancienne solution. On ne se voyait pas avec une telle adhésion.
Aujourd’hui nous en avons plus de 70.
Ensuite, ce sont tous les avantages de PRTG : le déploiement automatique, les alertings (mails, notifications via applications), alerting critique en cas d’incident. Nous utilisons tout ce que PRTG le permet. Je pense que nous utilisons la solution à 90%.
Plutôt que faire du ticketing sur un problème majeur, l’agent(e) peut constater si effectivement tel incident est collectif ou identifié, donc cela entraînerait une réduction des tickets à la volée.
Cela permettrait également à la DSI de se rendre transparente, de faciliter la communication sur nos infrastructures et notre présence et bien entendu aussi favoriser le confort de l’équipe HelpDesk.
BTW : Aujourd’hui, quelques mois après la mise en place de PRTG, pouvez-vous conclure que les objectifs fixés ont été atteints ? Les besoins identifiés au préalable sont-ils comblés par PRTG ?
BD : Oui, aujourd’hui, nous pouvons parfaitement dire que tous les besoins & attentes que nous avons exprimés ont été comblés par PRTG. Déjà lors des POC, toutes les cases ont été cochées. Les cartographies sont top, nous sommes très contents de cette fonctionnalité. Le déploiement c’est très bien passé, très rapidement.
Quant à la partie cartographie, nos attentes ont été surpassées. Il y a eu des réticences, comme exposé plus tôt, de grosses attentes sur ce sujet. Lors du POC, les équipes qu’il y a beaucoup de choses de possibles mais sans pousser.
À ce jour, aucune remontée négative des équipes. Donc, oui, nous sommes sur du « pleinement satisfaits
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